
A peine libéré, Mamadou Tandja l’ex homme fort du Niger suscite déjà des spéculations… N’ayant pas d’autre sujet plus sérieux à débattre, on a ouvert celui de l'opportunité de le déférer ou pas devant la haute cour de justice. Mamadou est accusé comme tout président déchu de détournement de deniers publics et d’autres méfaits communs à tous les dictateurs.
Mardi 10 mai 2011, le juge a estimé que l'ancien chef d'Etat ne pouvait pas être jugé par les tribunaux de droit commun. La haute cour de justice, composée de quatre députés et de trois magistrats professionnels, sera installée d'ici un mois et elle pourra commencer ses œuvres par une première entorses aux principes consacrés du droit qui interdisent … la rétroactivité des lois…
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